Question n° 1
Dans notre église, les quatre évangélistes sont représentés sur les deux chaires. Mais aussi dans profils qui se trouvent juste au-dessus des arcades de la nef, on trouve des apôtres, dont deux sont des évangélistes.
Chaire en marqueterie. Les quatre évangélistes se trouvent tout autour de l’abat-son. |
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Chaire mobile (elle est sur roulettes), qui est le plus souvent dans la chapelle Sainte-Geneviève. |
Crédit photo : Yannick Boschat |
Enfin, dans les médaillons au-dessus des arcades de la voûte : · Saint Jean, représenté avec son aigle. Le médaillon se trouve dans l’entablement de la voûte, côté gauche quand on regarde vers le chœur, à l’arcade qui est au-dessus de la Chapelle de la Vierge. |
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· Saint Matthieu, représenté avec un livre et avec une plume d’oie. Le médaillon se trouve dans l’entablement de la voûte, côté droit quand on regarde vers le chœur, à l’arcade qui est au-dessus du confessionnal qui est à côté de la chaire et du bureau d’accueil. |
La plupart du temps, l’iconographie chrétienne représente les quatre évangélistes en leur adjoignant les symboles suivants :
- Saint Matthieu : l’homme ou l’ange, suivant les cas,
- Saint Marc : le lion,
- Saint Luc : le taureau,
- Saint Jean : l’aigle.
Ces symboles sont repris de la vision d’Ézékiel (Ez 1, 1-28 ). Voir particulièrement Ez 1, 10 : « 10 La forme de leurs visages, c’était visage d’homme et, vers la droite, visage de lion pour tous les quatre, visage de taureau à gauche pour tous les quatre, et visage d’aigle pour tous les quatre. »
Question n° 2
Le tabernacle dont la porte représente le Cœur de Marie transpercé par un glaive est celle de la chapelle du Sacré-Cœur. |
Crédit photo : Yannick Boschat |
La dévotion à Notre-Dame des sept douleurs s’appuie sur le récit de la présentation de Jésus au temple, tel qu’on le trouve dans l’évangile de saint Luc.
De l’évangile selon saint Luc
En ce temps-là, lorsqu’ils présentèrent Jésus au Temple, 33 Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui. 34 Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction 35 – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. » (Lc 2, 33-35)
Quant au Sacré-Cœur de Jésus, il est représenté sur la porte du tabernacle du maître autel (dans le chœur de l’église) et aussi sur le tableau de la chapelle du Sacré-Cœur.
Question n° 3
Le tableau qui représente l’épisode de Massa et Meriba se trouve au fond de la chapelle Sainte-Geneviève. C’est le troisième tableau à partir de la droite. Comme les cinq autres tableaux de cette série, ce tableau est une œuvre du peintre d’origine flamande Ferdinand ELLE (né à Malines vers 1580 et mort à Paris en 1637). |
Crédit photo : Yannick Boschat |
Question n° 4
Crédit photo : Michel Berr |
Sur notre chaire baroque, la marqueterie de la Samaritaine est le cinquième panneau depuis le bas de l’escalier, si on compte le panneau qui est dans la porte de l’escalier. |
Question n° 5
Sur notre chaire baroque, la marqueterie qui représente une scène évoquée par la prédication de Jean-Baptiste est celle qui se trouve au bas de l’escalier de la chaire, sur la porte. On y voit un homme, habillé à la façon du XVIIIème siècle en train d’abattre un arbre. La phrase ainsi illustrée est celle du verset 9 : « Déjà la cognée se trouve à la racine des arbres : tout arbre qui ne produit pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu. » (Lc 3, 9) |
Question n° 6
Crédit photo : Yannick Boschat |
Le tableau du Christ aux outrages se trouve au-dessus de la petite porte qui mène au presbytère, prés de la porte de la rue des Francs-Bourgeois. Il s’agit d’une copie faite à partir d’une œuvre du peintre français Charles le Brun (1619-1690). |
Un autre tableau du Christ au roseau se trouve dans notre église, dans la chapelle Sainte-Anne (quand on regarde le chœur, à gauche du chœur). Mais il est peu visible. Le tableau est signé ‘MB’. Il s’agit d’une mosaïque. On ne sait pas de quelle époque il est… La plaque en bronze indique qu’il est offert en souvenir de la première communion de JMD célébrée à Notre-Dame des Blancs-Manteaux le 20 mai 1897. |
Question n° 7
La représentation de la trahison de Pierre est un relief en bois qui se trouve à proximité de la porte de la rue des Francs Bourgeois, juste à côté de la petite porte qui mène au presbytère. On y voit saint Pierre (représenté par ses clés et son auréole) pleurant. Un coq est perché sur une colonne juste derrière saint Pierre. Il s’agit d’une œuvre anonyme, datant peut-être du XVIIème siècle. |
Crédit photo : Yannick Boschat |
Question n° 8
Crédit photo : Yannick Boschat |
La station du chemin de croix où une femme enlace le pied de la croix est la station n°12, intitulée : « Jésus meurt sur la croix ». Les trois passages des évangiles qui nomment les femmes présentes à la croix sont : · Jn 19, 25-27 : · Mc 15, 40-41 · Mt 27, 57-56
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Question n° 9
Le bas-relief de l’agneau des sacrifices de l’ancien Testament se trouve dans l’entablement de la voûte, dans le chœur, à gauche (quand on regarde vers le chœur), à l’arcade qui est à droite de la statue de saint Louis. Sur le bas-relief, on distingue la nuée céleste, qui rayonne vers le sacrifice. L’agneau est sur le bois du sacrifice, et le tout est sur un autel. |
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Le bas-relief de l’agneau du sacrifice unique et définitif du Christ se trouve dans l’entablement de la voûte, dans le chœur, à droite (quand on regarde vers le chœur), à l’arcade qui est à gauche de la statue du bienheureux Guillaume de Malval. Entouré de la nuée qui indique que le Christ est déjà entré dans la gloire céleste, et donc dans le sanctuaire véritable, on distingue un agneau qui est couché sur une croix. |
Question n° 10
Le bas-relief de la sortie de la mer Rouge se trouve dans l’entablement de la voûte, côté gauche quand on regarde vers le chœur, à l’arcade qui est au-dessus de la Chapelle de saint Joseph. Sur le bas-relief, on distingue la nuée céleste avec la colonne de feu qui descend jusqu’à la mer, qui est ouverte en deux. |
Question n° 11
Les armes des Mauristes sont présentes trois fois dans notre église, deux fois dans l’entablement de la voûte et une fois au centre de la voûte.
Un premier exemplaire des armes des Mauristes se trouve dans l’entablement de la voûte, dans le chœur, à gauche (quand on regarde vers le chœur), à l’arcade qui est à droite de la statue de saint Louis. |
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Un deuxième exemplaire des armes des Mauristes se trouve dans l’entablement de la voûte, dans le chœur, à droite (quand on regarde vers le chœur), à l’arcade qui est à gauche de la statue du bienheureux Guillaume de Malval. |
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Le troisième exemplaire des armes des Mauristes se trouve au sommet de la voûte, en son centre, dans le chœur. Contrairement aux deux autres exemplaires des armes, celui-ci n’est pas entouré de la couronne d’épine, mais de palmes. |
Si vous avez trouvé les bonnes réponses à huit questions sur les onze posées, vous avez le droit de mettre gratuitement un cierge pour une intention de prière de votre choix…